viernes, 27 de junio de 2014

Reunification of our two Congregations - June 27 2014


Triduum of Celebration in the Generalate, Rome Wednesday 25th June 2014

Around the world, Sisters of Our Lady of Charity and Our Lady of Charity of the Good Shepherd are preparing for the event of our Reunification by a Triduum of celebration. The ritual committee proposed to us themes for three moments of celebration:

FIRST MOMENT: CELEBRATE THE JOY OF BEING TOGETHER

SECOND MOMENT: REAPING THE HARVEST

THIRD MOMENT: TOGETHER FOR MISSION

First Moment

Celebrating the gift of St. John Eudes and the mission or compassionate love which he entrusted to Our Lady of Charity from 1641 to 1835.

Gathering to the sound of the horn, the Sisters of our Lady of Charity, Good Shepherd sisters and some staff members, were led through the story of creation and St. John Eudes’ life and great work of “co-creation” with God. The program also included a dance led by Sister Elaine Basinger, a sharing on the life of St John Eudes by Sister Angela Fahy, and a reading of the letter of St John Eudes by Sister Brigid.

Read the complete celebration on the PDF file Below.


An excerpt of Sr Angela's input

John Eudes 1601 – 1680

A longed-for child, whose parents dedicated him to God in gratitude for his birth on Wednesday, 14 November 1601. His father was Isaac Eudes from the village of Ri, Normandy. He was the village ploughman as well as the village surgeon! His mother was Martha, a strong and enterprising woman.

John was the first born and had 2 brothers and 4 sisters. He Went to school in Caen with the Jesuits as a boarder. He was Probably not a brilliant student but he had a conscientious mind, and his certificate of studies described him as “a model of moral integrity and great modesty” (Certificate of studies 27 August 1621).

His Parents were not too happy that he wanted to become a priest; however, they accepted and he went to the Oratory. The aims of the Oratory were: unrelenting desire for reform in the Church; evangelical love for the poor; missionary zeal. He was ordained on December 20, 1625, and celebrated his first Mass on Christmas night.

Mercy or compassion: 3 requirements

  1. Feel the suffering of the other person or persons
  2. Have a deep desire to do something
  3. Do something, put the desire into action
Evident in his life

  • Twice he went to be with the people who were dying from the Plagues of 1627 and again in 1630. Two anecdotes from these: the little tine box in which he carried the consecrated hosts to the dying; he stayed in a barrel to be near the dying and so as not to infect those who were free from the Plague. 
  • Generally in France, and particularly in Normandy , a time of great oppression and atrocities, especially of the poor. [Everything was taxed so as to raise funds for war – land tax, salt tax. Soldiers passing through the countryside on the way to war had to be fed and lodged – and it was the country people who suffered huge losses. Farmers went to the towns and added to the poor. Epidemics as well. ] 1639 the revolt of the pieds-nus. Many were imprisoned. He made an appeal to the Chancellor and secured the release of 60 – 80 prisoners.




Fotos das Nossas Atividades Paroquiais


Nossa comunidade participou ativamente das atividades das comemorações de Corpus Christi Você pode acessar as fotos da procissão, da celebração e de todas as atividades paroquiais no link: 



SONTREASURE


Join us for "Sontreasure" Vacation Bible School!
Augusth 4-8 from 9:00 AM- Noon daily for children entering 1st through 5th
grades in the fall Registration forms are available in the parish office.
Interested in helping? students entering6th grade E older as well as adults are
welcomed to help! please call Marilyn Timmons or
Marie Lopez at 858-279-2735



Les congrégations religieuses s'unissent pour l'avenir

À la fin de la semaine, les Sœurs de Notre-Dame de Charité, fondées en 1641 à Caen, vont fusionner avec les Sœurs du Bon Pasteur, nées d’une scission en 1835 à Angers, après deux siècles de routes parallèles.

Comme elles, plusieurs congrégations féminines décident de se rapprocher, pour faire face à leur vieillissement et à la diminution de leurs effectifs, mais aussi pour retrouver un nouveau souffle.

« Notre crainte était d’être avalées, car nous étions dix fois moins nombreuses. Mais nous nous sommes dit que nous ­avions quelque chose à nous apporter mutuellement. » Avec franchise, Sœur Marie-Françoise Le Brizaut, provinciale de France des Sœurs de Notre-Dame de Charité (NDC), évoque la réflexion qui a conduit sa congrégation à se rapprocher des Sœurs de Notre-Dame de Charité du Bon Pasteur (BP).

Ainsi a été élaboré un programme sur trois années, consacrées successivement à l’histoire (2010), à la spiritualité (2011) et au charisme (2012), avec dix jours de formation intercongrégation et internationale « permettant de tout centrer sur le service des femmes méprisées, blessées, rejetées », précise Sœur Magdalena Franciscus, provinciale de France du Bon Pasteur. « Cela a permis aussi un chemin de réconciliation et de pardon, après ce qui a longtemps été perçu comme une trahison », ajoute Sœur Le ­Brizaut, faisant allusion à la décision de fusionner les deux congrégations.

Mais c’est l’expression « chemin d’enrichissement » qui a été retenue par les Sœurs de Notre-Dame de Charité et les Sœurs de Notre-Dame de Charité du Bon ­Pasteur (BP) pour dénommer le long parcours qui a préparé la fusion, officiellement célébrée ces 27 et 28 juin (1). Deux congrégations nées de « la même source », selon l’expression de Sœur Marie-Françoise Le Brizaut. À savoir, l’intuition fondatrice de saint Jean Eudes à Caen en 1641, pour offrir un refuge à des femmes en difficulté.

« RETISSER DES LIENS AVEC DE LA LAINE DOUCE »

« À cette époque, chaque monastère était autonome », poursuit Sœur Le Brizaut. Si bien qu’en 1835, sainte Marie-Euphrasie Pelletier, supérieure à Angers, crée, avec l’accord de Rome, un généralat pour réunir l’ensemble des couvents des NDC et mettre en commun leurs ressources afin de mieux répondre aux demandes de fondation à travers le monde. Ainsi est née la congrégation du Bon Pasteur, qui va connaître un développement rapide et rassembler jusqu’à 12 000 sœurs : elles sont encore aujourd’hui près de 4 000, tandis que Notre-Dame de Charité ne compte que 300 religieuses.

Pour ouvrir le nouveau chapitre de la vie des deux congrégations, les anciens statuts des NDC ont été dissous et d’autres réécrits, avec l’aval du Conseil d’État, permettant la fusion des deux congrégations sur le plan civil… et leur réunification sur le plan ecclésial.

« Tout cela fut complexe », insiste Sœur Franciscus, d’autant que la province de France du Bon Pasteur englobe la Belgique, les Pays-Bas et la Hongrie. Quelques communautés « mixtes » se sont déjà créées à Caen, Roubaix et Marquette (Nord), ainsi qu’à Rennes dans le cadre d’une maison-relais intergénérationnelle. Et les deux congrégations qui s’invitent mutuellement dans leurs chapitres provinciaux définissent désormais ensemble leurs objectifs pour l’avenir. « Nous ne souhaitons pas aller trop vite non plus », souligne Sœur Franciscus, qui parle de « retisser des liens avec de la laine douce ».

« ÊTRE PLUS NOMBREUSES POUR VIVRE UNE VRAIE VIE APOSTOLIQUE »

D’autres congrégations féminines sont engagées dans un semblable cheminement de fusion. C’est le cas des Sœurs de Sainte-Marthe de Périgueux, nées en 1642, qui ont officiellement choisi, en avril dernier, de devenir membres de la congrégation de la Charité de Sainte-Jeanne-Antide-Thouret.

C’est le cas aussi des Augustines de Notre-Dame de Paris (ANDP), dont les origines remontent au VIIe siècle – et qui sont elles-mêmes nées en 1977 de l’union entre les Augustines de l’Hôtel-Dieu de Paris et les Augustines du Précieux-Sang d’Arras –, et des Religieuses de l’Assomption (RA), fondée à Paris en 1839 par sainte Marie-Eugénie de Jésus.

« En 1994 déjà, au cours de notre chapitre général, nous exprimions le désir d’être plus nombreuses pour vivre une vraie vie apostolique et accompagner nos jeunes sœurs de Madagascar », raconte Sœur Danièle Duvillier, supérieure générale des ANDP. Mais c’est lors du chapitre de 2006 que la décision fut vraiment prise de demander à se rapprocher d’une « congrégation solide, de spiritualité augustinienne et de préférence francophone ».

« LA MÊME RÈGLE, LE MÊME DÉSIR DE VIVRE DES EXPÉRIENCES INTERNATIONALES »

Après avoir exprimé, en mars 2008, leur demande aux Religieuses de l’Assomption, les Augustines ont reçu la réponse officielle de celles-ci, le Jeudi saint 2009. « Depuis, nous évoluons ensemble dans l’amitié », poursuit Sœur Duvillier en citant des immersions dans leurs communautés respectives, des invitations mutuelles à leurs chapitres, des rencontres lors des conseils généraux pléniers, la formation des Augustines malgaches en juniorat à Abidjan, avec les novices RA…

« Dans la motivation des Augustines, nous avons retrouvé la même règle, le même désir de vivre des expériences internationales », renchérit Sœur Martine Tapsoba, supérieure générale des Religieuses de l’Assomption.

Avant Noël 2014, chaque augustine sera consultée comme l’Église le demande, et ce n’est qu’après le dépouillement de cette consultation canonique qu’une dernière étape sera franchie lors du conseil général d’octobre 2015 : « Si nos deux congrégations sont bien d’accord, alors on enverra à Rome notre demande de décret de fusion », indique Sœur Tapsoba. Là encore, on insiste sur le facteur temps : « pour que toutes craintes disparaissent ».

Claire Lesegretain

(1) Célébrations d’action de grâces le 27 juin à Caen (11 heures chez les sœurs NDC) et le 28 juin à Angers (10 h 30 chez les sœurs du Bon pasteur).



Palabra en fuego

“Creo Señor, pero aumenta mi fe” (Mc 6,24) esta expresión se escucha con frecuencia en diferentes, grupos, movimientos y comunidades. Cada uno de sus miembros abre sus labios para expresar la no pequeña necesidad de ir creciendo en la búsqueda espiritual, a partir de un ejercicio serio y responsable de entrega a Jesús a través de la fe en los demás. Quiero exponer en esta reflexión en voz alta para todos y todas tres herramientas claras y precisas sobre la manera cómo es posible crecer en la fe, sobre todo en este tiempo especial de la Pascua. Estoy seguro que si revisas conmigo el texto bíblico de Lucas 24, 13-35, encontraremos las tres herramientas de las que hablo. Esta reflexión se organizará en tres partes, tienes frente a ti la primera: La Palabra.

Lucas 24,13 describe el camino que emprenden dos personas hacia un lugar llamado Emaús, ellos dialogan, conversan, es decir, comparten palabra: “e iban conversando sobre todo lo que había ocurrido Mientras conversaban y discutían” (V14-15) estas palabras se caracterizan fundamentalmente por la tristeza, pesimismo, desanimo. Este dialogo no edifica, no construye. Poco a poco va acabando con la poca esperanza de salir adelante en aquel que escucha y por supuesto del que habla. Prueba de esto es la predicación que uno de ellos, llamado Cleofás le hace a Jesús, a sí mismo y al compañero de camino. Es una predica estéril, poco motivadora (v18-24)¿Cuántas veces tú has trasmitido desesperanza, desánimo? y más aún ¿En cuántos momentos has escuchado palabras preñadas de negativismo?

Medita esto: “Pero nuestros sumos sacerdotes y nuestros jefes renegaron de él, lo hicieron condenar a muerte y clavar en la cruz.” (v20) Cleofás se centra únicamente en la condena de Jesús a muerte, en su posterior crucifixión: “Nosotros pensábamos que él sería el que debía libertar a Israel. Pero todo está hecho, (v21) sus esperanzas se ven frustradas pues Jesús no cumple sus expectativas de Mesías: “y ya van dos días que sucedieron estas cosas.” (v21b) Todo esto de Jesús quedo en nada (v18-24). Sin duda esto es parecido a lo que tú en algún momento has recibido, sobre todo en los instantes más críticos de tu vida. Estos mensajes no son generadores de vida, sino todo lo contrario, son propagandistas de muerte.

Cobra valor por lo que viene a continuación, a diferencia de lo que has escuchado, Jesús quiere impactar tu vida con su ardiente cercanía: “Mientras conversaban y discutían, Jesús en persona se les acercó y se puso a caminar con ellos” (v15) y te habla el mismo en persona y para ello se vale de estas líneas, Jesús interpreta para ti toda la Escritura: “Y les interpretó lo que se decía de él en todas las Escrituras, comenzando por Moisés y luego todos los profetas” (v27) y tantísimo poder tiene esta Palabra que sale de la boca de Jesús que Enciende tu corazón, lo quema desde dentro: “Entonces se dijeron el uno al otro: «¿No sentíamos arder nuestro corazón cuando nos hablaba en el camino y nos explicaba las Escrituras?” (v32) Quema la tristeza, el desánimo, la pesadumbre, en fin todas aquellas realidades que no te dejan avanzar día a día y tanto nos quema esta Palabra poderosa que al igual que los discípulos no queremos alejarnos de Jesús ni un instante: “pero ellos le insistieron diciendo: «Quédate con nosotros, ya está cayendo la tarde y se termina el día.» Entró, pues, para quedarse con ellos.” (v29), le pedimos casi de manera agónica que permanezca siempre con nosotros. ¿Cuánta necesidad se tiene de Jesús?

No te imaginas el gozo que experimento al escribir esta experiencia para ti, tengo certeza que tu corazón se está encendiendo, cuando hablo del corazón me refiero a todo tu ser, no sólo a un órgano específico. La sangre corre por tus arterias de una manera acelerada, tus pupilas se dilatan por la poderosa Palabra de Dios que llega hasta ti. Esto fue lo que sucedió cuando Pedro predicó un día en Jesús, no con el objetivo de desanimar, sino para que sus oyentes cobrarán valor (Hch 2,36-42), el día de esta predicación estas palabras ocasionaron tres efectos: 1. Se les movió el corazón a los oyentes (v37), 2. Se cuestionaron (v37b), 3. Se convirtieron aquellos que escuchaban (v41). De la misma forma esta Palabra en Fuego hoy penetra en tu vida.

Una de las razones por las cuales sucede lo anterior, es porque los seres humanos hoy más que nunca tenemos hambre y sed de escuchar la Palabra de Dios (Am 8,11), tenemos necesidad urgente de saciar nuestros deseos más profundos, así como Pedro reconoce que el único capaz de llenar la vida es Jesús: “pero ellos le insistieron diciendo: «Quédate con nosotros, ya está cayendo la tarde y se termina el día.» Entró, pues, para quedarse con ellos.” (Jn 6,68). Hoy no me queda duda alguna, que Pedro dijo esto porque cada Palabra de su maestro producían en él: gozo, alegría, y descubría la presencia de Dios: “Cuando me llegaban tus palabras, yo las devoraba. Tus palabras eran para mí gozo y alegría, porque entonces hacías descansar tu Nombre sobre mí, ¡oh Yavé Sabaot!” (Jr 15,16)

Quiero proponerte que cierres tus oídos a todas aquellas palabras que no te ayudan a crecer, sino que te destruyen. Recuerda como Jesús le da entender esto a Jairo: “Jesús se hizo el desentendido y dijo al oficial: «No tengas miedo, solamente ten fe.” (Mc 5,36). Cada una de las Palabras de Jesús-escúchame- tienen la capacidad de Encender tu corazón, puesto que ninguna de ellas se deja de cumplir, todas se hacen realidad: “Como baja la lluvia y la nieve de los cielos y no vuelven allá sin haber empapado la tierra, sin haberla fecundado y haberla hecho germinar, para que dé la simiente para sembrar y el pan para comer, así será la palabra que salga de mi boca. No volverá a mí con las manos vacías sino después de haber hecho lo que yo quería, y haber llevado a cabo lo que le encargué.” (Is 55,10-11) Más aún penetran muy muy dentro de ti: “En efecto, la palabra de Dios es viva y eficaz, más penetrante que espada de doble filo, y penetra hasta donde se dividen el alma y el espíritu, los huesos y los tuétanos, haciendo un discernimiento de los deseos y los pensamientos más íntimos.”(Hb 4,12)

No olvides, Jesús quiere animarte, quiere darte valor, descúbrelo, hoy es un día excelente para empezar a leer la Biblia. Allí está la PALABRA EN FUEGO Un abrazo grande.

Escrito por Jader Ávila


Fotos de Corpus Christi 2014



Veja as Fotos de Corpus Christi no link abaixo:

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Pick up your copy of Deacon Peter’s new book, “The Path of Life”

Our own Deacon Peter Hodsdon has published his newest book, The Path of Life – Reflections on the Journey. It is a compilation of 78 of his most beloved homilies edited and progressively arranged in 12 chapters.

To celebrate this contribution to our own faith journeys, there will be a book signing event in the Parish Hall on Thursday, June 19 starting at 5:00 p.m. Books can be purchased for $15.95 with a portion of each sale going to one of three charities of your choice.

Deacon Peter will autograph books from 5-6, and dinner will follow from 6-7 ($12.00 per person). After dinner, Deacon Peter will give a talk entitled Prisons and Pulpits – the Skinny Little White Preacher.

For more information, contact Deacon Peter at dcnpeterh@yahoo.com.




Sacerdote africano de la comunidad Eudista hizo presencia en la ceremonia de grados en La Vega

 
La visita del Padre Yves Adrien Koaudio de Costa de Marfil a Colombia tiene como propósito conocer la dinámica del modelo educativo de UNIMINUTO para implementarlo en su continente.

El pasado 19 de junio se realizó en la Institución Educativa Ricardo Hinestroza Daza del municipio de La Vega, la primera ceremonia de graduación del CERES Gualivá, la cual contó con la grata presencia del Padre Yves Adrien Koaudio de la comunidad Eudista, la misma a la que perteneció nuestro fundador, el padre Rafael García Herreros.

La visita del Padre Yves Adrien a Colombia, tiene como propósito conocer la dinámica del modelo educativo de UNIMINUTO en el marco de misión académica para implementarlo en el continente africano, siguiendo así con la misión de la comunidad Eudista que es estar atentos a las necesidades de la iglesia y del mundo, orientando sus esfuerzos en función de crear soluciones, en este caso el de trabajar por el desarrollo de la educación en su territorio.

El sacerdote marfileño también visitó la sede administrativa de UNIMINUTO en Madrid para conocer los procesos administrativos y de mercadeo de los CERES en Cundinamarca.




Vem aí o arraiá da Sinhá Maria 2014


Com o calendário de junho tomado pela copa do mundo, nosso arraiá será em julho no dia 26, na paróquia, em nosso novo espaço de eventos. com comidas típicas, brincadeiras, sorteio de brindes, sorteio do balaio junino, forró autêntico e muita alegria. convites a r$5,00.


Ricardo Juarez Frausto, cjm for ordination to the Diaconate


jueves, 26 de junio de 2014

Pastor

 La imagen más difundida entre los cristianos de ese siglo es el crucifijo.

Para los cristianos de los primeros tiempos fue la del Buen Pastor. Todavía se conservan más de cien de estas efigies, anteriores al siglo V, y por lo menos tres son del siglo I.

Al principio, los cristianos adaptaban para uso sagrado, en las paredes de sus catacumbas y en las tapas de los sarcófagos, imágenes de pastores realizadas por artistas griegos, pues entre estos era frecuente representar al dios Hermes con un cordero en los hombros. Esta figura inspiró posiblemente las imágenes de Jesús, aunque también se encuentran otras que muestran al Señor guiando al rebaño u ordeñando las ovejas.

Estas representaciones evocan el lenguaje de la Biblia, pues en ella Dios se compara con un pastor (Is. 44,28; Jr. 23, 1-6; Ez. 44, 11-31; Sal. 23, 1-5). Allí se encuentran también vaticinios proféticos que hablan del futuro Mesías como de un pastor (Is. 40,11; Ez. 34,23; Zc. 11, 7-8; 13,7).

Cristo mismo se denominó como Buen Pastor, para darnos a comprender el amor con que nos conoce, nos busca, nos guía, nos alimenta, nos defiende del lobo, y llega a dar la vida por su rebaño (Mt. 18, 12-14; 26, 31; Mc. 14, 27; Lc. 15, 3-7; Jn 10, 1-18).

Basados en la enseñanza del Señor, los apóstoles le dan a Jesús el nombre de Pastor y Guardián de las almas (1Ped. 2,25), de Mayoral, o sea Jefe de los Pastores (1Ped. 5,4), de gran Pastor de las ovejas (Heb. 13,20), y designan con el nombre de pastores a quienes en nombre de Jesús orientan el caminar de la Iglesia (Jn. 21, 15-17; Ef. 4,11).

De fines del siglo II es el bello epitafio de la tumba de San Abercio, una de cuyas frases dice: “Mi nombre es Abercio; soy discípulo del Pastor puro, que pastorea rebaños de ovejas por montes y llanuras, que tiene ojos grandes, omnividentes”.

Un sinónimo de rebaño es Grey, palabra que proviene de la voz latina “Grex”. De ahí los vocablos españoles agregar, segregar, congregar, que significan añadir, separar o reunir el rebaño.

Los cristianos somos las ovejas congregadas por Cristo en la Grey universal, de la que Él es el Pastor Bueno, o el Pastor Bello como, como dice el evangelio (Jn. 10, 11-14; Mt. 9,36). 


Escrito por Padre Diego Jaramillo, cjm



Paróquia São João Eudes comemora o “Dia de Corpus Christi”


Com uma concelebração, presidida pelo padre Luís Gabriel e a participação dos padres Juan Carlos e Cristiano; adoração e procissão, que percorreu várias ruas do bairro Luciano Cavalcante, a Paróquia São João Eudes, comemorou, anteontem, dia 19 de junho, o "Dia de Corpus Christi". O evento, que se realizou na Igreja Matriz, com suas dependências completamente tomadas, contou com a presença das comunidades Nossa Senhora do Perpétuo Socorro, Santa Luzia, Menino Deus, Nossa Senhora da Liberação e Divina Misericórdia.

HOMILIA

Na sua homília, o padre Gabriel comentou as leituras, especialmente oEvangelho, no qual Jesus diz às multidões “Eu sou o pão vivo descido do céu. Quem comer deste pão viverá eternamente” e ressaltou que o Senhor nos alimentou no deserto com o maná”.


Depois da celebração eucarística, foi realizada a procissão, com o Santíssimo sendo levado pelo padre Cristiano, tendo ao lado o pároco Gabriel Mendonza e o padre Juan Carlos. A procissão teve a duração de uma hora e 20 minutos, com várias bênçãos do Santíssimo Sacramento.




We become what we eat!

SOLEMNITY OF THE MOST HOLY BODY
& BLOOD OF CHRIST
June 22, 2014
Jn 6:51-58

We, Christians, possess an immense treasure in the Eucharist. Jesus, the Bread of Life, gives us a gift--- his very own body and blood--- truly present in the Eucharist. No wonder then that for us Catholics, the Eucharist is the “source and summit of Christian life.”

Bread is the most basic staple food. Jesus, in giving himself in the lowly form of bread, comes to us in the most basic of all human need--- food-- invites us to feed on him and be nourished. Any food that we eat is assimilated into us and becomes a part of us. We are what we eat. Eat unhealthy food and our bodies become unhealthy. Likewise, healthy food brings us good health. We become what we eat. Whenever we are nourished by the Eucharist, we hopefully become like Jesus. Not only do we assimilate Jesus in us but more significantly, we are assimilated into Jesus—we live in the heart of Jesus. In asking us to feed on him, Jesus invites us to communion with him, a deep intimacy as we can imagine and perhaps, even more than what we desire.

In the Eucharist we discover who we are--- that we are a Eucharistic people belonging to Jesus. Jesus gives us His Body and Blood so that He might live in us and we in him, and so that we, then, might become life-giving for the world. As the Eucharist is a “thanksgiving,” so our lives ought to reflect this “thanksgiving.” Communion with Christ ought to lead us to communion with others. As we are blessed by the real presence of Christ in the Eucharist so are we to make the presence of Christ real to others. The challenge then for us is do we let the Eucharist shape who and what we are and how we act? How do we deal with the hunger and thirst of our neighbors--- physically, psychologically and spiritually?

The Eucharist is not just to be worshiped and adored, let us be nourished and strengthened by it. Pope Francis says the Eucharist "is not a prize for the perfect, but a powerful medicine and nourishment for the weak." As we are pilgrims on this earth, Jesus’ body and blood is our food for the journey.

Prayer

Lord Jesus, thank you for your gift of body and blood. I ask forgiveness for the times that I did not allow the Eucharist to transform me. Renew me with your body and blood, and heal my brokenness to make me whole again. Grant me the grace to be a “eucharist” for others. Amen

- Sem. DJ Garcia



miércoles, 25 de junio de 2014

Invitación Celebración Familia Eudista en Valmaría

La Hermana Carmen Cecilia Patiño Animadora Provincial Provincia Colombo Venezolana y las Comunidades Locales de Bogotá


Congregación Nuestra Señora de la Caridad del Buen Pastor

Invitan a la acción de gracias por el don de la unidad, con ocasión de la reunificación de las congregaciones <<Unión Nuestra Señora de la Caridad>> y <<Nuestra Señiora de la Caridad del Buen Pastor >>, a través de la fusión.

Fecha: 27 de junio
Hora: 3:00 pm
Lugar: Capilla del Seminario Valmaría
            Calle 119 No. 4-90. Bogotá, D.C.

<<Para que todos sean uno- Como Tú oh Padre, estás en Mí y Yo en Tí, que también ellos estén en Nosotros, para que el mundo crea que Tú Me enviaste.>> San Juan 17,21



Reunificação

Que alegria!!!!

Regozijemo-nos e alegremo-nos! Hoje recebemos a notícia que a nossa solicitação de reunificação através da fusão foi aceita pela Santa Sé. Por isto, as nossas celebrações e parabenizações do dia 27 de junho agora são oficiais!

Juntas na alegria do Espirito!

Angela e Brigid



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Tradução C. I. Rochereau

Il Papa: il cristiano sa abbassarsi per annunciare il Signore

Un cristiano non annuncia se stesso, ma il Signore. E’ quanto sottolineato da Papa Francesco nella Messa mattutina a Casa Santa Marta, nella solennità della Natività di San Giovanni Battista. Il Papa si è soffermato sulle vocazioni del “più grande tra i profeti”: preparare, discernere, diminuire. Il servizio di Alessandro Gisotti:

Preparare la venuta del Signore, discernere chi sia il Signore, diminuire perché il Signore cresca. Papa Francesco ha indicato in questi tre verbi le vocazioni di Giovanni il Battista, modello sempre attuale per un cristiano. Giovanni, ha detto il Papa, preparava la strada a Gesù “senza prendere niente per sé. Era un uomo importante: “la gente lo cercava, lo seguiva perché le parole di Giovanni erano forti”. Le sue parole, ha proseguito, arrivavano “al cuore”. E lì, ha osservato, ha avuto forse “la tentazione di credere che fosse importante, ma non è caduto”. Quando, infatti, si avvicinarono i dottori della legge a chiedergli se fosse il Messia, Giovanni ha risposto: “Sono voce: soltanto voce”, ma “sono venuto a preparare la strada al Signore”. Ecco la prima vocazione del Battista, ha evidenziato il Papa: “Preparare il popolo, preparare il cuore del popolo per l’incontro con il Signore”. Ma chi è il Signore?:

“E questa è la seconda vocazione di Giovanni: discernere, fra tanta gente buona, chi fosse il Signore. E lo Spirito gli ha rivelato questo e lui ha avuto il coraggio di dire: ‘E’ questo. Questo è l’Agnello di Dio, quello che toglie i peccati del mondo’. I discepoli guardarono quest’uomo che passava e lo lasciarono andare. Il giorno dopo, è accaduto lo stesso: ‘E’ quello! E’ più degno di me’. I discepoli sono andati dietro di Lui. Nella preparazione, Giovanni diceva: ‘Dietro di me viene uno…’. Nel discernimento, che sa discernere e segnare il Signore, dice: ‘Davanti a me… è questo!’”.

La terza vocazione di Giovanni, ha proseguito, è diminuire. Da quel momento, annota il Pontefice, “la sua vita incominciò ad abbassarsi, a diminuire perché crescesse il Signore, fino ad annientare se stesso”: “Lui deve crescere, io invece diminuire”, “dietro di me, davanti a me, lontano da me”:

“E questa è stata la tappa più difficile di Giovanni, perché il Signore aveva uno stile che lui non aveva immaginato, a tal punto che nel carcere – perché era in carcere, in quel tempo – ha sofferto non solo il buio della cella, ma il buio nel suo cuore: ‘Ma, sarà questo? Non avrò sbagliato? Perché il Messia ha uno stile tanto alla mano... Non si capisce…’. E siccome era uomo di Dio, chiede ai suoi discepoli di andare da Lui a domandare: ‘Ma, sei Tu davvero, o dobbiamo aspettare un altro?’.

“L’umiliazione di Giovanni – ha constatato – è doppia: l’umiliazione della sua morte, come prezzo di un capriccio”, ma anche l’umiliazione “del buio dell’anima”. Giovanni che ha saputo “aspettare” Gesù, che ha saputo “discernere”, “adesso vede Gesù lontano”. “Quella promessa – ha ribadito il Papa – si è allontanata. E finisce solo. Nel buio, nell’umiliazione”. Resta solo “perché si è annientato tanto perché il Signore crescesse”. Giovanni, ha detto ancora, vede il Signore che è “lontano” e lui “umiliato, ma con il cuore in pace”:






martes, 24 de junio de 2014

Réunification

Chères Sœurs,

Réjouissons-nous et soyons heureuses ! Aujourd’hui nous avons reçu la nouvelle que notre demande au Saint-Siège, de réunification par le moyen de la fusion, a été approuvée. Par conséquent, nos célébrations du 27 juin sont maintenant officielles !

Unies dans la joie de l’Esprit,
Angela et Brigid


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Tree Planting Ceremony Generalate, Rome -Honoring the Re-unification of the Sisters of Our Lady of Charity and the Sisters of the Good Shepherd

The two Congregations living in the Good Shepherd Generalate: Sisters of Notre Dame de Namur (SNDdeN) and Missionary Franciscans of the Immaculate Conception (MFIC), wished to honor the re-unification of our two Congregations with a tree planting ceremony. This was held on 4th June 2014.

 The tree offered by the SNDdeN and the MFIC             
                                                                          Srs  Brigid Lawlor and Angela Fahy watering the tree. 

                                                                                                               Sr Teresita Weind Sndden presenting the commemorative plaque


Excerpts from the Liturgical service - The Tree Planting ceremony

Sister Jeanette Gaudet adressing to the sisters present

“ Planting a tree is a sign that the planter believes there will be a harvest. A farmer would not plant his crops if he believes they would not grow. Similarly trees are planted in the understanding that there will be people alive to appreciate their beauty when the trees reach maturity. We all need signs of hope in our lives.

The Sisters of Our Lady of Charity and Sisters of the Good Shepherd will soon be re-uniting as one Congregation. To symbolize this joining together we, your friends would like to honor your union with a tree planting ceremony. The symbolic use of this beautiful tree is a reminder of the roots of your original congregations, and the strength of the roots of your growing relationship as one Congregation.

Like the maturation of this young tree, both Congregations envisage a healthy and growing relationship through your union. Following the life of the tree, your Congregation will be firm foundation, growing and changing into a more beautiful existence maturing with grace.

We hope that this tree symbolizes for you a union that will continue to grow. Like you, the tree will be exposed not only to the joys but to the daily challenges of life over a long period of time and we wish you all strength for any difficult days. 

This tree is called a Lagerstroemia indica, better known as a Crepe Myrtle. Crepe Myrtles love heat and humidity; they tolerate drought and grow quickly. They are renowned for their colorful and long lasting summer flowers. Hopefully this tree will bloom with bright RED flowers. The color red speaks to us of both congregations that now will join as one. Red is the color of fire and heat, melting and fusion and also the color of blood, of pain and suffering, the cross! In a way red is the color we have seen in action in our midst during the last couple of years. Red indicates Love, Passion, Energy, (Zeal), Action, a Pioneering spirit, Courage, enthusiasm for life and willingness to pursue dreams and goals.It is our hope that the tree around which we are about to gather will be a colorful reminder of the new Life about to begin and bear fruit among you.”

During the Tree Planting Ceremony


And the celebration continues...
Friendly gathering at the Ssnd Sisters




Re-unification

Dear Sisters,

Let us rejoice and be glad! Today we received news that our petition to the Holy See for reunification through merger has been approved. Thus, our celebrations on June 27th are now official!

United in the joy of the Spirit,
Angela and Brigid


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ENSEMBLE EN MISSION – LA SOURCE AU COEUR, AVANCER VERS LE LARGE

Paris, le vendredi 30 mai 2014

A toutes celles et ceux qui voudraient partager notre joie,

Les Provinces de France de Notre-Dame de Charité et BFMN du Bon Pasteur sont heureuses de vous inviter aux journées de célébration de la réunification de leurs congrégations :

ENSEMBLE EN MISSION – LA SOURCE AU COEUR, AVANCER VERS LE LARGE

27 et 28 juin 2014 à CAEN et ANGERS

  • Des femmes sont méprisées, blessées, rejetées… au 17ème siècle, à Caen, un homme, un prêtre, fonde Notre-Dame de Charité pour leur offrir un lieu sûr, un refuge.
  • Des femmes sont méprisées, blessées, rejetées… au 19ème siècle, à Angers, une femme, une soeur de Notre-Dame de Charité, trouve le moyen d’étendre l’action au monde entier. Ce moyen, c’est « le Généralat », à l’origine de Notre-Dame de Charité du Bon- Pasteur.
  • Des femmes sont méprisées, blessées, rejetées… au 21ème siècle, les soeurs de Notre- Dame de Charité et du Bon Pasteur se ré-unissent pour la mission, pour le service de ces femmes aujourd’hui.

Vous êtes cordialement invités à venir ou à vous joindre d’intention aux célébrations :

27 juin
   11h CAEN - Eucharistie avec les Soeurs.
   12h15 Buffet froid
   14h 00 Temps de relecture de l’histoire et de célébration
   15h15 Verre de l’amitié

28 juin

   9h45 ANGERS - Célébration de la réunification
   10h30 Messe solennelle du Coeur de Jésus
   Verre de l’amitié à la suite
   12h30 Buffet froid

Vous êtes invités à venir vivre cet événement unique avec nous, à Caen ou à Angers.

Soeur Magdalena Franciscus                                Soeur Marie-Françoise Le Brizaut
Provinciale BFMN de NDC du Bon Pasteur         Provinciale de France de Notre-Dame de Charité

Merci de confirmer votre présence et son lieu avant le 15 juin 2014 à Florence Avrillon : florence.avrillon@bonpasteur.com


"A Heart on Fire"

We share the publication of book "A Heart on Fire" by Steve Marshall, Eudist Seminarist of North America Province Eudist.

jueves, 19 de junio de 2014

Convite para Corpus Christ

Paróquia São João Eudes
Arquidiocese de Fortaleza
Rua Jaime Leonel, s/n
3278-1263 - Luciano Cavalcante

Prezado(a) Paroquiano(a),

Neste dia de Corpus Christi, no Próximo dia 19 de junho, quinta-feira, a Paróquia São João Eudes celebrará a solenidade do Corpo do seu Senhor com uma Missa Solene, a ser realizada às 17 horas. Em seguida, dando continuidade à festa, sairemos em procissão pelas ruas no entorno da Capela da Paróquia, levando, ao povo de Deus, o Jesus Eucarístico exposto no Santíssimo Sacramento.

O trajeto da procissão será pelas ruas: Rua Jaime Leonel, Rua Doralice Costa, Rua Ver. Bolivar Pinto Bandeira, Rua Luiza Miranda Coelho, Rua Livreiro Luis Maia concluindo a procissão na Igreja Matriz Menino Deus.

Assim, meus irmãos e minhas irmãs, você e sua família são os convidados a viver conosco este momento de oração e louvor a Nosso Jesus Cristo, participando da celebração da Missa, Assim como da procissão. Também, lhe pedimos que preparasse, na frente de suas casas, um pequeno altar para esperar a passagem do Cristo Eucarístico na frente ao seu lar.

Certos de contarmos com suas fraternidades, ofertamos nosso grande abraço para todos e nossa oração!

Pe Luis Gabriel Mendonza, CJM
Pároco




Recta Final TEFE Interprovincial 2014


Estamos culminando con éxito esta gran experiencia que seguramente nunca olvidaremos. Esta bendita espiritualidad nos ha sellado y ha impregnado nuestras vidas de un profundo y ardientísimo deseo activo de amar a Jesús. Son pocos días los que nos quedan y en medio de las clases y el alistar maletas para nuestro viaje de regreso hay tiempo para compartir los partidos del mundial de futbol. Una fiesta cuando juega México, Brasil, Ecuador y Colombia.

Misión eudista en las obras del Ecuador.

Del 25 al 31 de mayo estuvimos en la misión eudista en Guayaquil, Cuenca, Milagros, y Quito. Fueron grandiosos días donde dimos a conocer lo que hemos venido aprendiendo en este tiempo especial. Las realidades de las parroquias son distintas, aunque la mayoría tiene una pastoral muy activa. Todos coincidimos que fue una gran bendición contar con esta misión, no solo para evangelizar sino que conocimos otras obras y eso es importante cuando se mira hacia el ministerio. Damos gracias a todo el equipo formador y en especial al Padre Luis Fernando quien estuvo coordinado esta actividad.


Celebración de los 80 años del Padre Jesús Ángel.

Tuvimos la oportunidad de participar en el homenaje y despedida que se le hizo al Padre Jesús Ángel con motivo de sus 80 años de vida y por su abnegado servicio en la región del Ecuador. Fue un momento para compartir con los candidatos del Seminario San José y con otros hermanos eudistas que se unieron a la celebración. Vivir estos momentos hacer reflexionar del trabajo abnegado que se espera de cada uno de nosotros. Dios siga guiando los pasos del Padre Jesús.



Por último, los candidatos de la provincia Colombia venidos de México, Brasil y Colombia se nos dieron las obediencias de los lugares de pastoral donde se estará el resto del año. Que sea Dios, en su infinita bondad, quien nos bendiga y nos ayude a llevar a Cristo con coraje donde quiera se nos envíe. Nos encomendamos a sus oraciones.


Nos bendiga con su Hijo, la Santísima Virgen María.



La bénéfique ouverture aux laïcs des cours du séminaire d’Orléans

Séminaristes étudiant dans la bibliothèque du Séminaire 

interdiocesain d'Orléans, le 19 mars 2010.                William ALIX/CIRIC

Depuis douze ans, les cours du séminaire d’Orléans sont ouverts aux laïcs désireux d’approfondir leurs connaissances et de nourrir leur foi.


Cette ouverture profite aussi aux séminaristes.

Au séminaire d’Orléans, dans le cloître de la collégiale Saint-Aignan, la cloche retentit pour signifier la fin des cours et la pause de midi. « Nous sommes un peu comme au lycée. Heureusement qu’il y a les laïcs dans nos cours pour nous aider à rester sérieux ! », dit en s’esclaffant Sylvain Mansart. Ce séminariste en deuxième année, originaire d’Amiens, ne voit que des avantages à partager ses cours avec des personnes dont les itinéraires ne mènent pas comme lui à la prêtrise : « Ils ont une expérience familiale et professionnelle que nous n’avons pas et cela permet de tisser des liens, un réseau de relations et d’amitiés. »

Une vingtaine de laïcs, aux parcours et aux aspirations hétéroclites, ont frappé, cette année, à la porte du séminaire. Après un rendez-vous préalable au service diocésain de formation, ici appelé Centre d’étude et de réflexion chrétienne (Cerc), pour identifier leurs motivations, ils s’inscrivent à un ou plusieurs cours payants, s’engagent à être assidus et à passer les examens de fin d’année. « Il n’y a pas d’auditeurs libres. C’est une façon de motiver tout le monde », admet Pascale de Barochez, directrice ajointe du Cerc.

Une démarche intellectuelle qui rejoint la foi

Leur intégration va crescendo : « La première année, ils commencent doucement pour se familiariser, puis on élabore avec eux un projet menant au Duet, un diplôme de l’Institut catholique », poursuit-elle. Certains aspirent à aller plus loin, jusqu’au Baccalauréat voire à la Licence canonique (équivalents de la licence et du master). Le P. Jean Camus, membre de l’équipe enseignante, précise néanmoins que « certains cours comme la théologie du célibat ou le droit canon ne sont pas accessibles à tous ».

Ces règles du jeu, rigoureuses, n’effraient aucun des laïcs rencontrés : « Si je ne dois pas passer un examen, je n’arrive tout simplement pas à réviser », explique Jean-Pierre Evelin, inscrit cette année à deux cours, soit cinq heures tous les quinze jours. Philippe Brus, retraité de la Poste et Isabelle Abadie, enseignante en congé formation, estiment aussi « qu’il faut un objectif pour sanctionner l’acquisition des connaissances ». L’apprentissage d’une culture religieuse et philosophique n’est pas leur seule motivation : « Ce n’est pas qu’une démarche intellectuelle. Cela rejoint la foi. J’ai pu mettre des mots sur des expériences spirituelles. Ces cours sont nourrissants pour ma vie. C’est comme si les pièces du puzzle s’assemblaient », affirme Jean-Pierre, la cinquantaine, qui a commencé à suivre ces cours il y a quelques années. Cet enseignement éclaire ses intuitions, l’oriente rapidement vers des passages de la Bible qu’il raccroche à des sujets de société.

Des débats décomplexés

Philippe Brus a ressenti les mêmes bienfaits. Ce « recommençant » dans la foi, qui s’était longtemps éloigné de l’Église, a entrepris cette démarche l’an dernier, en « suivant des cours de théologie fondamentale, ce qui n’était pas le plus simple ». « Aujourd’hui, j’aurais du mal à m’en passer », explique cet homme souriant, qui suit cette année des cours de philosophie. Depuis qu’elle a entamé ce congé formation, Isabelle Abadie dit « avoir plus de recul, acquis un regard plus critique grâce à l’anthropologie philosophique ou à l’histoire de la philo. Ici on parle, on débat de morale sexuelle, familiale ou sociale de façon décomplexée ». Très enthousiaste, elle est « épatée » par la formation générale des prêtres qu’elle qualifie « de profondément humaine et ouverte ». Cette mère de famille ne cache pas l’admiration qu’elle éprouve pour les séminaristes qu’elle côtoie. « Ils viennent d’univers très différents. Il y a d’anciens plombiers mais aussi des doctorants. Cela fait toucher au mystère de l’Église, de l’Appel. »

Xavier Renard (à Orléans)